The STUDIA UNIVERSITATIS BABEŞ-BOLYAI issue article summary

The summary of the selected article appears at the bottom of the page. In order to get back to the contents of the issue this article belongs to you have to access the link from the title. In order to see all the articles of the archive which have as author/co-author one of the authors mentioned below, you have to access the link from the author's name.

 
       
         
    STUDIA THEOLOGIA CATHOLICA - Issue no. 4 / 2007  
         
  Article:   EUTHANASIA – BETWEEN IMMORALITY AND LEGALIZATION.

Authors:  ANDREI-CLAUDIU HRIŞMAN.
 
       
         
  Abstract:   L’euthanasie – entre imoralité et légalisation. L’euthanasie pose des problèmes de morale et de conscience professionnelle, les docteurs, les clercs, les psychologues et les juristes étant entraînés dans des entretiens controversées, si l’on met en discussion de mettre fin aux jours d’un malade étant dans un coma avancée, d’un malade de cancer étant en agonie ou dans le cas du calvaire d’un paralytique.
   Il y a beaucoup de méthodes d’euthanasie: l’injection létale, le gaz, la suspension du support vital, l’interruption de l’alimentation, méthode considerée cruelle, car elle peut causer la sensation de vomissement, des problèmes cardiaques, un état dépressif, le séchage des téguments, la dyspnée.
   On peut diviser les types de l’euthanasie en trois grandes groupes, en fonction du critère de la volonté personnelle du malade, en fonction du critère de l’action choisie par le docteur, auxquels on ajoute les types spéciaux: l’euthanasie volontaire, involontaire et non-volontaire; l’euthanasie active et passive; les formes spéciales d’euthanasie.
   Même si aujourd’hui l’euthanasie est un phénomène complexe, tout à fait différent de la pratique romaine ou spartiate, on ne peut pas nier l’existence de l’euthansie depuis l’Antiquité.
   Le docteur n’est pas destiné à mettre fin à la vie du patient ou à l’aider de se mettre lui seul fin à sa vie, mais il ne doit pas non plus „cultiver des légumes” dans les chambres de l’hôpital. Il doit être le protecteur de la vie, en se résignant devant la mort naturelle.
 
         
     
         
         
      Back to previous page