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Rezumat articol ediţie STUDIA UNIVERSITATIS BABEŞ-BOLYAI
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Rezumat: Les Églises de Hongrie et de Transylvanie dans la seconde moitié du XVe siècle. Une perspective transylvaine. Le roi Mathias Corvin renforce et étend les droits des Roumains de Transylvanie, mais en 1940 l’aristocratie Roumaine refuse de soutenir Jean Corvin. Mathieu Corvin remplit une fonction unioniste au niveau religieux. Il accorde des privilèges à Cozia en 1473, et par ses actes de 1476, 1481, mis sous le signe de la collaboration et de la dépendence envers Rome, et destinés à la protection des Orthodoxes, Mathieu essayait de poser en représentant de ceux-ci, dans leur voie, unique, vers Rome. L’organisation ecclésiale de Transylvanie comprenait, en ce qui concerne les Orthodoxes, trois formations: les Serbes avaient le Belgrade, controlé par les Branković, fidèles à Mathieu. Les Ruthènes recevaient le Munkács, et les Roumains avaient une métropolie à Feleac (1498). L’Orthodoxie du royaume se partageait entre Belgrade et Feleac, de la même manière dont le Catolicisme était partagé entre Esztergom et Kalocsa. En dimensions terrestres, intra-statales, l’adaptation de l’aire ecclésiastique à l’espace poilitique une fois achevé, Le Feleac dépassait Suceava et Curtea de Argeş. Depuis le séculaire au spirituel, le Feleac était directement contrôlé par la couronne magyare par la position, la juridiction, et, indirectement, par sa soumission au protecteur moldave de la Transylvanie, Étienne, inférieur en rang monarchique. Sa puissance pénetrait par l’ordination de l’évêque à Suceava. Par excellence, Étienne est le prototype Roumain du constructeur et du donateur. Mathias a, “suprenamment”, une hypostase similaire, par des investitions et des donations numériquement comparables à celles d’ Étienne, mais avec moins d’églises. |
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